Une avocate véreuse Marie M...

 Courrier envoyé par RESISTANT à Maître Marie M , pour protester contre son incompétence et sa malhonnêteté :

 

  Maître  Marie Mxxxxxx, vous essayez apparemment de vous justifier par un mail maladroit et mensonger après avoir commis plusieurs fautes. 

Déjà vous ne pouvez nier qu'un avocat normal aurait demandé un report au juge d'instruction le lundi 23 novembre 2015 alors qu'il était seulement désigné le vendredi 20, donc la veille, et n'avait de ce fait jamais contacté son client.

On n'a jamais vu ça. Mon premier fax à votre cabinet date du 23 novembre à 13h48, alors que je venais de recevoir par messagerie Free votre désignation, donc le jour-même de la convocation. 

C'est à cause de votre carence qu'un avis de fin d'information a été rendu le lendemain 24 novembre par la JI. 

Qu'avez-vous dit à cette audience où vous vous êtes rendue sans m'avoir contactée ? 

J'avais pourtant expressément demandé la désignation d'un avocat pénal "spécialisé en affaires criminelles et refusant toute influence" mais après renseignements votre désignation était une grossière erreur.

 Votre façon de traiter les dossiers à la légère et sans effectuer aucune diligence indiquerait visiblement que vous êtes de cette catégorie "d'avocats" qui vivent des aides juridictionnelles et se moquent éperdument de l'issue des procédures, même lorsqu'il s'agit comme ici d'une très grave affaire criminelle et de spoliation d'héritage, alors que vous aviez une obligation de moyens selon votre code de déontologie.

Vous étiez dans l'obligation de demander un report. Le pire est que vous m'avez reproché au téléphone "de n'avoir pas demandé de report", comme si c'était à moi de faire votre travail. J'avais déjà écrit de manière explicite à la JI jusqu'au 20 novembre, contrairement à ce que vous prétendez, et je ne peux faire tout le travail à votre place. 

Au contraire, en toute complicité avec les violations de mes droits, et à l'inverse de votre mission de défense, vous prétendez que les décisions de JI sont fondées "parce que j'aurais été convoquée plusieurs fois et n'aurais jamais demandé de report" : pourtant vous aviez l'ensemble de mon dossier, par PDF et mail + fax AR, contenant les échanges de courriers et mes multiples relances pour obtenir l'assistance d'un avocat.

Vous n'avez même pas été capable de soulever devant le juge la violation de l'Article 43-1 du Décret du 15 mars 2011 sur l'aide juridictionnelle, tout en niant au téléphone qu'il existait une plainte circonstanciée devant le bâtonnier contre la précédente "avocate" de 2013, qui avait déjà essayé de saboter ma procédure en fournissant des faux au JI, avant de se désister, preuves que vous aviez reçues par fax AR... et vous continuez à soutenir en parfaite mauvaise foi que j'avais un avocat jusque là, y compris devant la première chambre de l'instruction ayant rendu le premier arrêt sans attendre ma désignation d'avocat. 

Cela signifie que vous n'avez même pas consulté mon dossier, confirmant les soupçons sur votre compétence et votre inscription par intérêt sur la liste d'aides juridictionnelles. 

Ce qui vous permet de m'accuser après avoir ruiné toutes mes chances de succès. 

En outre vous ne craignez pas de vous contredire sur ce prétendu "avocat commis d'office" depuis 2013 (ce terme est réservé aux inculpés et non aux bénéficiaire d'AJ, ceci dit en passant) : comment avez-vous pu être désignée si j'en possédais déjà un ?? 

Ignorant même la Convention Européenne des Droits de l'Homme et le délai indispensable à la préparation d'un dossier (article 6-3 !) , vous soutenez que les audiences peuvent se tenir sans laisser aucun délai pour la préparation d'un rendez-vous devant le juge, après une désignation d'avocat la veille, et qu'il n'y a aucune faille dans cette procédure : curieux propos de la part d'un avocat. 

De même que vous m'avez déclaré au téléphone ne pas connaître le délai de pourvoi éventuel, et m'avez conseillé de me renseigner auprès de quelqu'un d'autre, tout en m'assurant qu'il n'y avait aucun motif de cassation. 

Cependant nous observons que vous communiquez les décisions par mail à l'issue des 5 jours de délai de recours, comme par hasard, donc vous agissez pour entraver la défense de vos propres clients. En outre, alors qu'on vous demande la preuve de votre date de réception de décision - preuve ci-dessous du 16 février confirmée par écrit à 19h04 -, vous prétendez que les décisions de justice à Epinal ne sont jamais envoyées avec accusé de réception, mais par lettre recommandée sans AR. Vraiment ? J'ai pourtant reçu avec AR cette dernière décision, envoyée le 12 février 2016. 

Autre mensonge, vous prétendez m'avoir laissé un message le 15 février, ce qui est complètement faux. C'était le 16, avec l'envoi tardif par mail de la décision du 11 février, que vous auriez dû m'envoyer dès réception.

Je vous ai rappelée immédiatement ce 16 février. 

En réalité vous n'avez pas voulu m'en informer la veille, de peur que je puisse me défendre, puisque vous ne connaissiez pas du tout l'Article 186-1 du CPP. 

D'ailleurs cette dernière décision découle aussi de vos carences, puisque vous n'avez rien écrit dans mes intérêts à la chambre de l'instruction, malgré mon dossier complémentaire que vous aviez depuis 1 mois : comment les magistrats pouvaient-ils savoir la vérité ? notamment l'existence de mon handicap m'empêchant de parcourir 400 km, d'où mon insistance pour une audition en visio-conférence ou par commission rogatoire... Au lieu de ça vous vous obstinez à vous moquer de moi en me reprochant "de n'être pas allée aux convocations" (pour demander des renvois pour cause d'attente de désignation d'avocat), ce qui est aussi scandaleux vis-à-vis d'une personne handicapée à 80 %. 

Enfin vous inventez dans votre mail, à deux reprises, que j'aurais "un ami avocat à la cour de cassation" alors que je n'ai jamais dit cela. 

Vous m'avez conseillé de prendre rendez-vous pour 1000 euros auprès d'un avocat en cassation, en ajoutant "qu'ils se comptaient sur les doigts de la main" (pourtant la liste des avocats en cassation est assez longue), je vous ai répondu que j'en connaissais deux ou trois sur Paris. 

Vous m'avez alors donné des faux renseignements juridiques, à savoir que mon dossier BAJ Cass. ne devait être fait qu'après rendez-vous avec avocat et après avoir payé 1000 euros. Franchement je ne sais pas où vous avez fait vos études mais toutes vos réponses sont surprenantes pour un avocat. Cela confirmerait votre volonté de nuire à la défense de vos clients en leur faisant manquer en tout cas des délais de recours, sachant que tout dossier au BAJ est suspensif dès la date d'envoi. 

Puis à ma question sur le délai de recours, vous m'avez répondu que par rapport à cette ordonnance "vous ne le connaissiez pas par cœur mais que c'était très court", et que "parfois il n'est pas indiqué dans l'ordonnance, ça dépend des ordonnances". C'est moi qui vous ai rappelée pour vous informer que le délai de recours était de 5 jours, comme si vous ne pouviez pas chercher vous-même. 

D'où votre mail tardif du 17 m'envoyant un article du CPP pour essayer de vous rattraper, tout en faisant croire que je "remettrais en cause ce texte de loi et l'ordonnance", alors que ce sont vos agissements qui sont aujourd'hui en cause selon l'avocat contacté. 

Je plains toutes les victimes qui tomberont sur vous et qui subiront votre ton arrogant et méprisant, parce que vous n'êtes pas faite pour ce métier. 

De toute façon cette affaire exemplaire d'incompétences diverses et de déni de justice sera diffusée avec les vrais noms des coupables. 

Salutations. 

Résistant.

Copies à qui de droit

 

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