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La soumission à l'autorité judiciaire , une question de taille d’amygdale du cerveau ?

SOUMISSION

 

La soumission à l'autorité judiciaire , une question de taille d’amygdale du cerveau ?

 

Je me suis longtemps demandé pourquoi il n'y avait pas plus de rébellion parmi les victimes - ou qui se prétendent telles - du système tutélaire… ou de façon plus générale du système judiciaire.

Cela me rendait perplexe…

 

J'ai longtemps cru que ces victimes ou prétendues telles ne réagissaient pas plus par flemme, mollesse ou bien par peur des représailles…

 

Mais je pressentais qu'il y avait autre chose, que l'explication devait être plus complexe et plus profonde. Et effectivement des recherches récentes menées en psychologie sociale et clinique, en éthologie et en neuropsychologie, semblent démontrer que si l’espèce humaine a réussi à traverser les siècles et maintenir une certaine structure dans ses communautés, cela est dû en partie à l’instauration de rapports dominants / dominés.

Pour la bonne et simple raison que s'il n'y avait que des « dominants » les membres du groupe s’entretueraient…

D’autre part, l’observation de certaines sociétés animales nous montre clairement cette tendance à respecter un ordre hiérarchique entre les individus.

Bref, il semble que ces rapports dominants/dominés, qui ne sont pas très « politiquement corrects » soient cependant la condition indispensable à la survie de l'espèce humaine…

Mais comment se fait-il que tel individu appartient au groupe dominant et tel autre au groupe dominé ? Selon le neuropsychologue Antonio Damasio une partie de l’amygdale du cerveau serait liée au comportement dominant, l'autre au comportement dominé. Ainsi, plus l’une des parties est active, plus elle exacerbera le comportement qui lui est lié.

 

Dominant ou dominé ? | Cerveau & Psycho (cerveauetpsycho.fr)

 

 

 

 

 

 

 

 

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