Lesméthodes très douteuses des maisons de retraite Orpea

Les méthodes très douteuses des Directeurs de Maison de retraite Orpea

 

En 2012 ma mère et mon père sont entrés en Maison de retraite, Résidence del'Orme, du puissant groupe Orpea)  8, rue Vassal. Saint-Maur des Fossés. 94100.

Lorsque mon père est mort en 2013  j'ai demandé à la Directrice Madame Saleh de bien vouloir  rembourser la caution de 3.600€ que mon père avait versée..

ça n'a pas plu du tout à Madame Saleh qui a alors refusé toute communication avec moi sous prétexte que ma mère était sous tutelle et que la Directrice ne communiquait qu'avec la tutrice et pas avec moi.

Je n'ai cessé  de lui envoyer des faxs, mails, RAR auxquels elle n'a jamais répondu

Elle m'a fait dire de m'adresser au notaire, le notaire n'a en fait jamais reçu cette somme ! 

Mon avocat a alors écrit à Madame Saleh au sujet de cette caution :  Madame Saleh lui a répondu qu'elle avait envoyé un chèque de 438€ au notaire 

 Ben oui sauf que cette somme de 438€ ne correspond en rien à la caution 3.360€

Le notaire a téléphoné 3 fois à Madame Saleh  pour avoir des explications , les deux premières fois elle lui a dit, attendez je vais vous expliquer , je vais vous envoyer les explications... et puis la troisième fois elle a changé de version et elle a dit : L'avocat de la famille n'a qu'à me contacter !

L'avocat, ben voyons !!!!    Encore des frais !   Ces directeurs de Maison de retraite savent pertinnement que la plupart du temps les gens renoncent à fair e un procès  qui leur reviendra plus cher que la caution !

 

J'ai publié tout ça sur mon site Internet,  Madame Saleh m'a envoyé, via son avocat une mise en demeure  de retirer mes publications !    sous peine de ' grosses ' représailles . 

Je n'ai pas cédé ! 

 Je me fiche pas mal de cette caution , ce qui me dégoûte c'est ce ces gens là volent les morts, c'est ignoble, c'est malsain, c'est infect

C'est du charognage 

Même les terroristes ne font pas les poches des morts !!

 Revenez demain sur le site, car l'histoire ne s'arrête pas là 

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