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Trolls sur FB, l'inspecteur Laure mène l'enquête

Trolls sur Facebook, l’inspecteur  Laure mène l’enquête :

 La semaine dernière,  trois «  trolls «  sont intervenus  de manière violente  sur une  de  nos pages FB consacrées aux abus tutélaires.

Ils ont commencé à nous traiter de tous les noms, et  nous ont accusés d’avoir recours à des  magouilles et à des pratiques illégales…

L’inversion  accusatoire dans toute sa splendeur…

Ils nous ont carrément menacés de représailles  judicaires si nous continuions à  tenir ce qu’ils appellent  des «  propos outranciers «  et plusieurs d’entre nous ont été, dans l’heure qui suit  signalés à FB et privés de publication  pendant plusieurs  jours.

Je suis persuadée qu’il ne s’agit pas de simples trolls mais d’émissaires du lobby des tutelles  qui se connaissent et se sont concertés entre eux pour nous faire peur et nous faire taire.

En ce qui me concerne c’est raté.

Pour en savoir plus sur eux  je suis allée sur leurs profils et pages FB.

Pour  le troll qui est apparu en premier, TB   d’après son profil, il habite Antibes et se dit retraité.

Les ¾  de ses coms sont consacrées à faire l’apologie d’E.M  , il est très peu suivi  et les rares commentaires que laissent les internautes sur  ses publications sont toujours négatifs, il  lui est reproché de trop sucer E.M.  

T.B  est membre de plusieurs  groupes  F.B de soutien à E.M

Il publie aussi des coms sur des placements financiers  et nous informe qu’il a choisi des placements en nue-propriété.

Je vous parlerai du deuxième troll, à savoir Martine P demain.

 

 

 

 

 

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Commentaires: 3
  • #1

    Daniel Pisters (lundi, 13 août 2018 15:08)

    Félicitation pour l’enquête. Il est certain que ces trolls sont des créatures du lobby des tutelles, du Pouvoir, etc. mais « et plusieurs d’entre nous ont été, dans l’heure qui suit signalés à FB et privés de publication pendant plusieurs jours. » car cela indique que ces créatures ont un certain pouvoir d’action. Cela nécessite la plus grande attention. Et exige une réaction rapide de votre part auprès des « autorités » de FB ainsi qu’à la Cour de Justice Européenne au motif d’atteinte à la Liberté d’Expression.
    Il serait temps pour vous de toucher la Presse. Une amie, rédactrice en chef de la Revue Générale, y avait le bras assez long en Belgique et me promit qu’elle ferait publier un article concernant ma problématique (indépendamment donc de sa portée générale – j’ignorais encore cette portée) dans un quotidien bien connu. Elle a toujours tenu ses promesses à mon égard en termes de publication dans sa Revue. Elle aurait tenu celle de faire publier un article dans ce quotidien. Hélas, la Grand Dame décède dans l’intervalle. C’est son époux grammairien qui me l’apprend au téléphone. Je suis donc privé d’un soutien.
    J’ai téléphoné et envoyé deux courriels au directeur de département (proche du rédacteur en chef) du quotidien en question. Réaction plutôt évasive. Il me demande si cela concerne la population dans son ensemble. Je lui réponds que fort probablement oui (je vous ai écrit que j’étais encore mal informé). Je lui rétorque (aimablement) que, de toute façon, la singularité d’un cas ne limite pas sa portée, et n’atténue pas le fait qu’il mériterait d’être signalé aux médias. Il acquiesce. Je laisse couler un peu d’eau sous les ponts avant de me rappeler à son bon souvenir. « C’est en suspens », me dit-il. Il est difficile à ce stade d’en penser quelque chose.
    Hormis un journal satyrique (du moins selon ce dont il se revendique), toute la Presse belge est subsidiée par l’État, sauf lui-même qui ne cesse de la dénoncer. Autrement dit, la Presse Belge serait entièrement sous contrôle du Gouvernement. La télévision de même. L’État et sa « justice » deviennent d’autant plus susceptibles, ombrageux, d’autant plus enclins à surveiller le citoyen, prompts à sévir, à brider, museler, menacer et punir avec une volupté presque sadique que ce sont des édifices instables érigés sur pilotis dans un marécage de gabegies. Ils respirent les pestilences qui en émanent comme l’air pur de la montagne au sommet de laquelle ils s‘érigent.

    Aujourd’hui, il y a les crapauds de montagne,
    Toujours dégoulinant de leur fange,
    Crachant leur bave sur les ailes des anges.

    Leurs pustules pleines du pus de leur hargne
    Mûrissent le projet d’y noyer ceux qui dérangent
    En ne bêlant pas assez fort leurs louanges.

    « Ô Maître (notaire, avocat), Ô Dignes magistrats,
    Je vous remercie humblement de me tourmenter
    Car cela témoigne de l’attention que vous me portez.

    Vous pensez à moi, l’Etat ne m’oublie pas.
    Quel réconfort venant d’une telle altitude
    Descend meubler ma misérable solitude! »

  • #2

    Laure (lundi, 13 août 2018 20:13)

    Pour les signalements a fb j ai porté plainte dès le lendemain

    Pour la presse en france les tutelles ont longtemps été
    Tabou mais depuis un an ca a énormément changé il y a eu bp vraiment bp d émissions a la télé ds les journaux et a la radio.
    A chaque fois les journalistes me contactent et je les renvoie vers des adhérents qui ont des dossiers solides et des preuves a fournir
    Les choses ont l air de bouger...

  • #3

    Daniel Pisters (lundi, 13 août 2018 21:34)

    Vous contribuez à faire bouger les choses, Laure... Cela mérite un p'tit poème fraîchement pondu:

    Unis contre l'abus des tutelles
    Fonçons à coups de béliers et tir d’obus.
    Culbutons les gardiens de la citadelle
    Où se réfugient tous ces juges et avocats imbus.

    Ouvrons des brèches, fracassons des portes
    Dans un même élan trop longtemps retenu.
    Que notre révolte filée en cris ténus
    S’appuie enfin sur des voix qui portent.