En août dernier, une prostituée du Bois de Boulogne a été mortellement agressée en voulant défendre son client attaqué par plusieurs hommes pour le dépouiller de son argent.
Sa mort a fait deux lignes dans les journaux, c'était une pute n'est-ce-pas, ces filles savent à quoi s'en tenir quand elles choisisssent de travailler la nuit au Bois de Boulogne.
Vanessa était peut être une pute mais elle avait une sacrée paire de c... ce qi n'est pas donné à tout le monde.
Il y y a une semaine un homme qui était en train de faire le plein à la pompe à essence s'est fait agresser par un homme qui l'a sauvagement mis à terre et roué de coups
dans l'indifférence générale.
La scène a duré plus de dix minutes et personne n'a rien fait : les gens ont fait semblant de ne rien voir, ils ont continué de faire le plein bien tranquillement et se sont
barrés sans même appeler les secours.
Vanessa , toute pute qu'elle était s'est battue seule contre quatre en pleine nuit, au coeur du Bois , elle aurait pu fuir et aurait sans doute eu la vie sauve mais elle s'est
interposée pour protéger son client.
Ses collègues travailleurs du sexe ont organisé une manifestation en hommage à Vanessa dénonçant la responsabilité de l'Etat et le sience du gouvernement depuis le meurtregation de la loi sur la
prostitution adoptée en avril 2016, qui a notamment introduit la pénalisation des clients, désormais passibles d'une amende de 1 500 euros - 3 750 euros en cas de
récidive. Cette
mesure a, selon elles, fait baisser les revenus des prostituées et les a obligées à exercer dans des endroits plus isolés, à l'écart de la police, où elles sont davantage exposées aux
agressions.
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