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Notaires, avocats tuteurs et juges arrogants voulez-vous la guerre civile ?

Notaires,  vers une guerre civile ?
On évoque parfois la possibilité d'une prochaine guerre civile qui naîtrait des tensions Islam/ laïcité.
Moi je pense qu'il pourrait bien y avoir prochainement une guerre civile mais qui serait due à une sorte d'explosion de colère des Justiciables excédés des comportements de plus en plus inqualifiables de certaines robes noires et rouges.
Lorsque ma mère a été mise sous tutelle extérieure nos biens et nos vies ont été gérés par des étrangers: notaires, tuteurs avocats qui se sont immiscés dans nos vies et prennent toutes sortes de décisions sans la moindre concertation avec nous comme si nos biens et nos vies leur appartenaient.
Ces gens là se comportent en maîtres absolus  et il faut vivre sous leur botte, s'écraser, subir.
Dès que vous leur faites savoir qu'il s'agit quand même de vos biens et de votre vie  et que vous avez votre mot à dire, ils vous écrasent , vous accusent de harcèlement et même vous attaquent en diffamation...
C'est INVIVABLE.
Est-il admissible qu'un Juge des tutelles vous accuse " d'agissements graves " quand vous lui faites remarquer que la tutrice de votre mère est d'une incompétence crasse  et cause d'énormes dégâts ?
Est-il admissible qu'un notaire menace votre avocat de le dénoncer ( comme sous l'Occupation ) à son bâtonnier si elle continue à vous défendre contre ce notaire malveillant ???
Est-il admissible qu'un notaire vous menace de vous faire mettre sous tutelle si vous ne vendez pas tel bien ( et alors qu'il n'y a aucune raison de le faire ?)
Est-il normal qu'un notaire vous renvoie vos courriers RAR sans les avoir ouverts ?
Depuis 5 ans que je vis ce genre de faits j'ai l'impression de vivre en dictature.
 Si les notaires, les avocats, les tuteurs continuent de nous traiter non pas comme des clients mais comme leurs sujets je pense que la violence éclatera.
Je connais des centaines et  même des milliers de gens qui font la même analyse que moi.
En aucun cas je n'appelle à la violence mais je pense que malheureusement celle-ci finira par éclater si la " Justice " ne balaie pas devant sa porte et ne nettoie pas son propre " mur des cons "

 

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Commentaires: 3
  • #1

    CHEVREL PHILIPPE (mardi, 09 octobre 2018 11:41)

    Entièrement d'accord. Cette façon insupportable d'abuser les personnes vulnérables et de ne pas appliquer les lois de la République nous révolte. Moi même; je rêve de vengeance pour les écraser comme des ...... et si il y avait une guerre civile, je ne donne pas chère de leurs peaux . Mon but; faire éclater les vérités et les faire condamner avec des peines exemplaires . Jamais; je n'arrêterai de les pourchasser car pour moi je les considères pire que des criminels pour toutes les tortures et abus sûr des personnes vulnérables par leur autorités .

  • #2

    Daniel Pisters (mardi, 09 octobre 2018 17:25)

    (I) Une guerre civile est en effet inévitable et même souhaitable, car ils ne lâcheront pas un pouce de terrain, ne reviendront pas d'un millimètre sur leurs positions et, au contraire, empièteront de plus en plus sur notre peu de liberté. Mais nous sommes désarmés. C’est la « force publique » qui a les revolvers et les menottes, les structures adéquates pour nous garantir une charmante villégiature derrière les barreaux. Nous irions littéralement devant des tanks en brandissant des pancartes. Je vois d’autres moyens comme mn système PROMAVICTAS, mais je ne puis développer ici. Et cette prudence n’est pas une façon de conférer une aura de mystère à quelque chose qui n’existe pas. Une des plus sages, la moins téméraire, du moins, parmi les approches que je préconise est de court-circuiter le niveau national sur le plan judiciaire en adressant un rapport très cohérent à la Cour de Justice Européenne. Démarche qui peut sembler d’autant plus improbable que les magistrats français, belges, s’alignent sur de nouvelles directives européennes allant dans le sens – abusif - des tutelles, si je du moins je suis bien informé par une personne qui ne veut pas que je la cite (étant dans une phase particulièrement critique de sa problématique, cette personne craint que le fait de se faire remarquer encore plus ne lui soit préjudiciable – ce qui indique que nous vivons vraiment dans un climat de Terreur, que nous nous avançons sur un terrain miné, fourmillant d’espions et d’indicateurs, de trolls qui sortent la tête d’une entrée de leur grotte avant d’y disparaître).e
    S’adresser directement à la Cour de Justice européenne signifie comme quelqu’un en a déjà fait l’expérience ici, rencontrer un autre un mur assez élastique pour nous faire rebondir vers le pouvoir judiciaire à l’échelle nationale, où rien ne bouge sinon les mâchoires de l’étau qui nous enserrent, dans une atmosphère viciée de stagnation et de poussière qui finira par nous recouvrir, enterrés vifs avec nos vitupérations et nos cris d’impuissance : nous n’aurons jamais existé, puisque nous n’aurons jamais été entendus.
    Donc, s’introduire à la CEE revient presque en rentrer dans la caverne du dragon en demandant de l’aide pour combattre le dragon.
    « Avec de l'audace on peut tout entreprendre, on ne peut pas tout faire » aurait dit Napoléon (« De l’audace, encore de l’audace » etc. serait de Danton). J’enchaîne à la citation de l’Empereur celle de Guillaume Ier d’Orange-Nassau, dit le Taciturne : « Il n’est point nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer ».
    Notre combat relève de l’épopée et même de l’Iliade et de l’Odyssée, en plus petit, si l’on veut, et hybridé avec de l’absurde pareille à celui du Procès de Kafka. Nous entrons dans la caverne du cyclope et lui crevons son œil. Nous pénétrons dans le Château. Nous trouvons comme Ulysse la voie du milieu entre le tourbillon de Charybde et le rocher de Scylla.

  • #3

    Daniel Pisters (mardi, 09 octobre 2018 17:27)

    (II) Les mouvements de troupes ne peuvent s’envisager sans connaitre, deviner, appréhender celles de l’adversaire qui, de son côté, est aveugle (ou du moins borgne) en ne voyant en les nôtres que des foyers d’insurrection qui, s’ils ne s’éteignent pas d’eux-mêmes, avec le temps, la lassitude, la résignation (« On les aura à l’usure »), seront étouffés par la « manière forte ».
    PROMAVICTAS prévoit dans une phase de conception ultérieure une véritable cartographie européenne reflétant la progression du cancer tutélaire, en représentant les conglomérats les plus malades comme les plus petites et les plus isolées des affaires par autant des tumeurs malignes menaçant de propager leurs cellules cancéreuses à toute une circonscription, ou en progressant par bonds trans-départementaux en France, translinguistiques et même provinciaux en Belgique ou selon une logique de propagation réticulaire qui fait abstraction des distances, des mentalités régionales continuant d’émaner de certaines traditions.
    Ce réseau, en somme, devrait être mis à jour en « temps réel », autant que faire se peut, et la progression du mal être représentée aux Communautés Européennes dont les députés et la magistrature nous écouterons d’une oreille endormie et d’un œil de chat ouvert dans cette nuit qui nous enveloppe et où nous sommes assez bêtes pour nous enduire d’un produit fluorescent pour les aider à nous repérer comme proies.
    Du moins, cela fera-t-il débat, et la CEE qui se pose en chevalier blanc de la Liberté d’Expression serait quelque peu gênée de censurer, supprimer un système que, de surcroît, nous mettons à son service.
    Les juges, les tuteurs, les notaires, devront rendre des comptes à PROMAVICTAS, le Juge des juges (je devrais mettre un smiley pour ne pas être pris pour un fou, mais je n’en mets pas, d’autant plus que je ne plaisante pas – tout en m’amusant).
    Tous les acteurs du système seront invités à s’y enregistrer au même titre que les victimes, à répondre à des questionnaires, etc. Ensuite, ils seront obligés de s’y enregistrer. Je caresse le rêve que dans ces dictatures qui sont les nôtres, rien ne peut être plus séduisant qu’une dictature pire qu’elles-mêmes.