En ce 12 juillet une pensée pour Sandrine Volle dont le procès a lieu aujourd'hui.
Je ne connais pas personnellement Sandrine Volle mais j'ai regardé toutes ses vidéos et j'ai une grande admiration pour cette femme.
Depuis des années elle dénonce avec énormément de courage le placement abusif de sa fille mais aussi celui de nombreux enfants placés.
J'ignorais totalement qu'il y avait des placements abusifs d'enfants, c'est un acte lourd de conséquences et je pensais que quand la justice prenait ce genre de décisions elle ne le faisait qu'après avoir longuement pesé le pour et le contre... Or, il semblerait que non.
Sandrine Volle a eu le courage de citer le nom de l'association de sa fille ce qui lui vaut aujourd'hui de passer devant le tribunal correctionnel.
J'imagine ce qu'elle ressent pour l'avoir vécu moi-même, j'ai moi-même été poursuivie en diffamation pour avoir publié haut et fort les hauts faits de la tutrice de ma mère. Je savais parfaitement ce que je risquais et j'ai agi en toute connaissance de cause. Beaucoup de ces procès en diffamation ne sont que des procédures baillons qui ont pour but de faire taire ceux qui dénoncent les dérives judiciaires.
Un pauvre type dont je n'ai pas voulu dans mon association et qui ne l'a jamais digéré intervient régulièrement sur Facebook pour dire « Méfiez-vous de Dominique Fleuriot, elle a été traînée en diffamation ».
Ce pauvre cloporte au QI d'huître m'inspire un infini dégoût et une infinie pitié, je n'ai pas été « traînée devant les tribunaux » j'ai provoqué moi-même ce procès afin de pouvoir dénoncer les maltraitances tutélaires subies par ma mère et bien d'autres personnes. Je ne fais pas partie de ces planqués qui s'écrasent pour éviter les problèmes et qui comptent sur les autres pour résoudre leurs problèmes.
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