Vous n'avez pas honte d'exploiter les pauvres victimes des tutelles

Suite de mes  entretiens téléphoniques  avec le taré qui me tanne depuis sept ans pour que j'aide les "pauvres  victimes  du monde réel de la tutelle"

 

_Moi «  Monsieur, les abus et dysfonctionnements tutélaires existent depuis des décennies, notre association, elle,  existe depuis cinq mois… il  est  donc tout à fait normal que  vous n’en voyez pas les résultats.  Les  nombreuses actions que nous menons  sont expliquées, détaillées par le menu  sur notre site Internet ,  encore une fois Monsieur ce site  nous demande beaucoup de temps et d’énergie veuillez vous y référer : je vous l’ai déjà dit le téléphone est strictement réservé aux adhérents. »

 

 

Même si lors de cet entretien j’ai été on ne peut plus claire avec cet individu en lui faisant comprendre que je ne souhaitais pas être importunée au téléphone,  il reviendra à la charge à de très nombreuses reprises. 

 

A  chaque  fois qu’il me téléphonait  je lui répétais  que ‘ le n° de l’association est strictement réservé aux adhérents et que l’association ne prend pas de personnes sous tutelle’

 

A chaque fois  il faisait semblant de n’avoir  rien entendu ou pas compris et partait  dans de longues tirades sur la tutelle. 

 

Ses  connaissances  sur le sujet étaient assez minces et se limitaient à  deux ou trois trucs qu’il avait dû pécho  sur mon site et qu’il avait d’ailleurs généralement  compris de travers. 

Sans être déficient mental à proprement parler il avait manifestement de gros problèmes à comprendre un texte qui  faisait plus de cinq lignes. 

Il passait des heures à étaler des lapalissades et des lieux communs  sur la tutelle et s’apitoyait sur son sort et celui des «  mal protégés »  pour reprendre une expression à laquelle il tenait beaucoup.

 

A cette époque je recevais  une bonne dizaine de coups de fil  de la part de «  mal protégés » dans son genre  qui lorsque  je leur expliquais que l’association  ne prenait pas de personnes sous tutelle  entraient dans  des états de rage épouvantable et me traitaient de tous les noms :  sale vendue, sale udafienne,  tu n’es bonne qu’à exploiter la misère des pauvres victimes, salope  on va te poursuivre devant les tribunaux . »

Quand  je leur demandais de m’expliquer  par quel miracle je pouvais exploiter ces «  pauvres  victimes » alors que  l’association ne prenait pas de  personnes sous tutelle les insultes et les menaces redoublaient .

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