Jack Paloque Bergès : le justicier de l’Église et des tutelles.
Jack Paloque Bergès a été le premier à répandre des calomnies ignobles sur mon compte.
Depuis que je m’intéresse aux abus tutélaires, c’est-à-dire depuis près de huit ans maintenant je suis la cible d’accusations abjectes de sa part : Si je suis aussi active sur internet ce n’est que dans le but sordide d’harponner les « pauvres victimes » et de les exploiter financièrement.
Inutile de dire que Monsieur Jack Paloque Bergès n’a absolument JAMAIS, jamais jamais, pu apporter la moindre preuve de ses accusations sordides à mon égard, et qu’elles sont, selon moi, la projection de ses propres tendances plus ou moins refoulées.
Je ne suis pas la seule à subir les foudres de Mr Paloque Bergès qui, sur son blog évangéliste la page des ouailles passe son temps à dénoncer les pasteurs qui ne prêchent la bonne parole évangélique que dans le but de détrousser de naïves victimes . Il supprime bien évidemment les commentaires des personnes qui se permettent de lui faire remarquer que son comportement est hautement pathologique , pas la peine d’avoir fait l’agrégation de psychiatrie pour s’en rendre compte.
Mr Jack Paloque Bergès a d’ailleurs laissé sur son blog les commentaires d’internautes qui l’ont parfaitement démasqué comme celui-ci qui se trouve en bas de l’article « Il y en a qui en croquent » signé Jack Paloque Bergès sur son blog la page des ouailles du 1er février 2017.
Le titre de cet article « Il y en a qui en croquent » en dit d’ailleurs très long sur les obsessions malsaines de cet individu …
Voici donc ce commentaire Ah, bonjour monsieur le « journaliste » à scandale, le fouineur de tout ce qui peut être répandu
comme accusations, calomnies. Monsieur qui se prend pour le justicier de l’Église et qui ne passe son temps qu’à critiquer tout le monde. Votre blog est un ramassis
nauséabond.
Vous vous amassez un trésor de colère, car vous n’utilisez votre langue acérée que pour juger, condamner,
calomnier. Combien vous devez être malheureux en réalité.
Extrait de Certaines « victimes » des tutelles méritent des claques .
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