Quand j’ai débarqué , il y a 8 ans, sur les groupes « tutelle » Facebook j’ai d’abord été frappée par la médiocrité, voire la nullité absolue des publications : si on peut qualifier de « publications » ces barrissements et ces vagissements sans queue ni tête.
Ce qui m’a également interpellée, comme on dit de nos jours, c’est l’individualisme forcené et imbécile des personnes qui s’expriment sur ces groupes qui prétendent combattre les abus tutélaires
mais ne s’intéressent en fait qu’à leur petite personne.
D’ailleurs, dans son livre Les Dépossédés, paru en 2014, Valérie Labrousse fait elle aussi cette constatation…
Cet individualisme forcené – en complet décalage avec les beaux slogans de solidarité dont ils ont plein la bouche, n’est évidemment pas l’apanage des victimes ou soi-disant victimes des tutelles, il gangrène la société dans son ensemble.
Une société française perçue comme plus individualiste et agressive, selon un sondage
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