« Si la justice ne fait pas son boulot, il est clair que ma démarche va se radicaliser, » écrivait Philippe Chabert sur sa page Facebook « abusé par un notaire » en septembre 2023.
Il y avait à peu près trois ans que ce paysagiste d’une quarantaine d’années se battait comme un lion contre deux notaires qui l’avaient, selon lui, abusé et ruiné.
Jusqu’alors sa colère, à mon humble avis parfaitement légitime, avait été très contenue et je l’admirais de rester aussi maître de lui malgré ce que ces notaires, mais aussi leurs chambres et le Procureur de la République lui ont fait endurer…
Et puis un jour, il a fini par craquer et il y a eu ce dérapage verbal qui lui a valu une garde à vue de 48 heures !
Une garde à vue, surtout lorsqu’elle dure 48 heures, alors que vous vous estimez victime d’une escroquerie et que ceux qui sont ces escrocs qui devraient selon vous être dans l’horrible cellule où vous allez passer deux jours et deux nuits, c’est quelque chose d’extrêmement traumatisant et ça peut vous mener à la folie et au suicide.
C’est exactement ce qui s’est passé pour Philippe Chabert.
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